plein de sensations

Publié le par trainefeuille

Retour velo de route le plein de sensation il pluviote qqfois fort pour aller face au vent dans la vallée de la bouzanne a travers un paysage d hiver les haies qqfois dégradées, fraichement tondues arbres décharnées, pulmonaires ça respire et moi aussi, arrive à st gaultier désert, ya rien sauf l’accueil de francoise rogier, charmant Je lui parle de son beau grand livre sur la chine ancienne, reviens vent arrière par la cote de chasseneuil la pluie reprend la fatigue à gérer le temps laiteux, ah ! passer entre amis –ies du temps inutile, généreux, paresseux, s’inventer des choses, se raconter se rencontrer,des choses dignes de l’amitié, de la beauté, plaisanter, le drôle de la vie, avec tout, on aime toutes et tous, nonchalance et charme, se faire plaisir les uns les autres, jouer, aller se voir Catherine Rio jadis etc…etre assez « égoiste » pour être heureux. .journal intime, aider à comprendre, à se--, c’est un bout du corps un ami,

Quel type de vie choisi ? une femme dit souvent : trou du cul, putain, là on se rassemble, un sens à sa vie, atroces les obsessions, le métier, écrire des rêves,au-delà des galères, pas facile de se relire , la survie ! angoisse de la mort, se réécrire, faire tout pour se protéger, ne meurs pas ! toucher le flanc végétal de l’arbre et sentir un calme en moi, s’évader toucher le frisson de l’aube, se mettre en valeur ?se raconter des histoires ? ce qu’elle m’a dit m’a choqué

Dialogue continu sous tous les aspects, très changeant, se dire ,a-t-on raté sa vie ?bilan, réussir qqchose, trop plein, que ça puisse passer, c’est quand même mieux de parler à quelqu’un, je n’écris pas quand ça va bien, on s’en prend ici bas plein la gueule, j’écris à ma tante, morte

Me détendre ; ce carnet c’est à moi, ah ! très beaux chœurs d’hommes et de femmes des abbayes ! chants au plus haut degré, mêlés ! j’entends des mouettes qui crient, et moi aussi

Sa façon de se moquer de moi me raidit, comme dit edgard, stop à l’anesthésie en société, dans le couple, par la peur généralisée ! dangereux nuages de moucherons la veille du réveillon, le merle chante son plaisir et son inquiétude, de faire des œufs des petits à sa femelle il y a des risques très gros, qu’ils meurent ! un homme et une femme qui a une attitude bancale, sortent du super u en rasant les murs, ils sont déguisés en félin avec un survêtement, pars seul comme un voleur elles restent seules ne peuvent pas bouger, suis en auto à la pte de st gildas, ça pète la tempête, c’est très beau tout comme chopin que j’écoute durant le trajet, les filles la mère causent longuement, ç fait du bien, sur les mecs de la famille ça dépote, lui le taiseux, lui le aigri, mais pourquoi tu restes avec elle ? tu doutes ? normal , elles déversent pour se protéger se dire elles sont quand même pas si vilaines, ,non ? non !!

Des monstres de beauté de bonté de vivacité d’intelligences, de compétences elles sont partout, curieuses de tout, toujours du neuf, toujours à causer ; qu’est ce qu’on est nous les mecs, tout con, tout maris ! confus, nous les mecs on a toujours un pet de travers, un bobo, on se plaint (je m’entends très bien avec moi-même dit elle) c’est à désespérer de s’être mis à deux, c’est encore long ? si vous restez avec nous ? vous êtes sûrs ? et d’autres filles ? comme nous ? pas la parole dans sa poche, est ce que vous appréciez ? puiser l’amo

Retour velo de route le plein de sensation il pluviote qqfois fort pour aller face au vent dans la vallée de la bouzanne a travers un paysage d hiver les haies qqfois dégradées, fraichement tondues arbres décharnées, pulmonaires ça respire et moi aussi, arrive à st gaultier désert, ya rien sauf l’accueil de francoise rogier, charmant Je lui parle de son beau grand livre sur la chine ancienne, reviens vent arrière par la cote de chasseneuil la pluie reprend la fatigue à gérer le temps laiteux, ah ! passer entre amis –ies du temps inutile, généreux, paresseux, s’inventer des choses, se raconter se rencontrer,des choses dignes de l’amitié, de la beauté, plaisanter, le drôle de la vie, avec tout, on aime toutes et tous, nonchalance et charme, se faire plaisir les uns les autres, jouer, aller se voir Catherine Rio jadis etc…etre assez « égoiste » pour être heureux. .journal intime, aider à comprendre, à se--, c’est un bout du corps un ami,

Quel type de vie choisi ? une femme dit souvent : trou du cul, putain, là on se rassemble, un sens à sa vie, atroces les obsessions, le métier, écrire des rêves,au-delà des galères, pas facile de se relire , la survie ! angoisse de la mort, se réécrire, faire tout pour se protéger, ne meurs pas ! toucher le flanc végétal de l’arbre et sentir un calme en moi, s’évader toucher le frisson de l’aube, se mettre en valeur ?se raconter des histoires ? ce qu’elle m’a dit m’a choqué

Dialogue continu sous tous les aspects, très changeant, se dire ,a-t-on raté sa vie ?bilan, réussir qqchose, trop plein, que ça puisse passer, c’est quand même mieux de parler à quelqu’un, je n’écris pas quand ça va bien, on s’en prend ici bas plein la gueule, j’écris à ma tante, morte

Me détendre ; ce carnet c’est à moi, ah ! très beaux chœurs d’hommes et de femmes des abbayes ! chants au plus haut degré, mêlés ! j’entends des mouettes qui crient, et moi aussi

Sa façon de se moquer de moi me raidit, comme dit edgard, stop à l’anesthésie en société, dans le couple, par la peur généralisée ! dangereux nuages de moucherons la veille du réveillon, le merle chante son plaisir et son inquiétude, de faire des œufs des petits à sa femelle il y a des risques très gros, qu’ils meurent ! un homme et une femme qui a une attitude bancale, sortent du super u en rasant les murs, ils sont déguisés en félin avec un survêtement, pars seul comme un voleur elles restent seules ne peuvent pas bouger, suis en auto à la pte de st gildas, ça pète la tempête, c’est très beau tout comme chopin que j’écoute durant le trajet, les filles la mère causent longuement, ç fait du bien, sur les mecs de la famille ça dépote, lui le taiseux, lui le aigri, mais pourquoi tu restes avec elle ? tu doutes ? normal , elles déversent pour se protéger se dire elles sont quand même pas si vilaines, ,non ? non !!

Des monstres de beauté de bonté de vivacité d’intelligences, de compétences elles sont partout, curieuses de tout, toujours du neuf, toujours à causer ; qu’est ce qu’on est nous les mecs, tout con, tout maris ! confus, nous les mecs on a toujours un pet de travers, un bobo, on se plaint (je m’entends très bien avec moi-même dit elle) c’est à désespérer de s’être mis à deux, c’est encore long ? si vous restez avec nous ? vous êtes sûrs ? et d’autres filles ? comme nous ? pas la parole dans sa poche, est ce que vous appréciez ? puiser l’amour, quel écart entre nous ! amapola : l’histoire du pingouin, qui respirait par le cul, OK ? et les filles s’amusent à péter , voyez le niveau, non mais, quel coup de foudre qu’on avait eu ! basta c’est pas ça, faut se soigner, avec du pousse d’épine de rires, d’insolence, envers soi même, je me fais allumer, me rappelle papa :toujours des reproches ! qu’on est sérieux, rigides, pas être très touché ? les filles, toutes, annick agnès catherine, nadia, régine, martine, comme ça ? elles sont prêtes à en cuire pour garder leur idéal de vie, de famille, voilà, et nous ? pas sûr, oui les couples, les engueulades froides, risquent de dévaster, elles sont plus centrées sur elle-même que nous, autour de ce qu’elles aiment , la famille, la vie l’amitié les valeurs la façon de vivre, la nourriture…le jardin, les anecdotes,les expériences, les enfants, tous les enfants, ceux qu’elles voient vivre, qu’elles sentent bien, quelle mémoire ! dates prénoms événements… pas guère nous, elles se disent les sentiments, les partagent, positivent , ah le mystère de la profondeur de ces dames ! admirable, qu’en pensez vous les garçons, ne nous suicidons pas en profiter, les protéger car elles sont certainement quelque part fragiles, pourquoi s’énerver contre ça ? on est mal à l’aise avec elles ?elles n’ont pas envie de nous ? se sentent indépendantes, autonomes ? donnent à fond, se donnent ; pas fameux quand elles racontent leur expérience des hommes, on se donne à fond dans quoi ? pas se culpabiliser, se stresser, penser à se faire du bien, oui. On est le pont entre cette tension créatrice des opposés ,cherchant à faire un, car on est différents, il y a tellement d’expressions de l’amour différentes, ta façon ,à l’étendre ! très froid en dehors, dans la salle des fêtes c’est la-, on danse sans arrêt, enlevant les étoffes, on est 68 , avec les musiciens, on se tient les mains, on est chauffés au rouge, et on se partage des chocolats, pas belle la vie ? je regarde par la fenêtre du séjour mélancolie des arbres,des branches 8h dans la cuisine basile melaine et joelle causent, j’irais bien dehors marcher, me demande comment faire, être, mais ils sont là quelle chance ! souvent je regarde à cette fenêtre, je suis seul , pense à eux, ils sont absents d’ici, enfin on est 2, quand même ! si seulement ils étaient là ! je les imagine là bas alors, dans leurs activités leurs soucis, avec leurs enfants, leurs plaisirs ; quand les reverrons nous ! mais on est tous pareils ! ah que vais-je faire ce matin, rester un peu ! sortir pas longtemps, les aspirer, les écouter toujours mieux, notre vie à nous ! que de choix faits pour en être arrivés là !! magie ! tellement de libres possibilités, de la part de chacun, Fuir la sécheresse dans les sentiments, la tendresse trop parcimonieuse, que les déchets se mettent à étinceler sous la pluie ! il y a toujours quelque chose qui me dévaste ? et aussi qui me traverse, un ouragan qui est clairvoyance et amour, nous ne sommes pas qu’un puits cartésien, il y a des chose agissantes, come les silences, à respecter, comme toutes les mises en mouvements du corps et de l’esprit, ou du spirituel , ce qui sauve ! du plus grand que nous, à l’heure de l’ultime naissance ? les femmes se dévoilent sortent des secrets, trouvent une place sans déranger, veulent que soit créé du beau ; tissent du joyeux ensemble, de toutes les matières possibles, pour la dignité du sujet bien dans l’existence ! come des lionnes elles se battent, nous font un cadeau du réel ,des réels, je suis un volcan ! un courant d’air ! le cri le corps pleure, l’odyssée de la vie ! si non dort c’est qu’on ne vit pas assez ! se réinventer, se rendre dispo à la matière autour de soi

Créer, vivre, dans le quotidien banal, au fil du temps, habillé de vrai,de beau,

Ben déjà fini mince alors on s’accordait bien à tout installer, ces décos de noel, 2 matins, devant l’école, devant la mairie, je fais des trous à la barre à mine pour que les filles plantent les branches vertes, petits bosquets touffus autour des hiboux en sections de troncs de pins rouge, les cervidés ont des ancrages en fer à béton, c’est vivant ,toute l’équipe a bien bossé, le grand ours blanc en train de dribbler, un ballon de foot sur la tête ,au pied des tissus blancs pour la neige, elles ont pas mal de talent artistique, ont fait beaucoup de petits personnages avec des tissus de couleur des bouts de bouleau, et une barbe en mousse blanche ,pour assembler tout ça , on a bien apprécié, Discussion sympa chez nadia, on parle spiritualité et tout ça, numérologie qui l’intéresse, je récupère pour un temps son vélo jaune pour le rénover un peu à l’atelier, où elle avait souhaité participer comme réparateur bénévole pour apprendre et aider les gens, fêtes toujours de votre mieux ! l’importance du discernement il faut un minimum d’intériorité ,or on est beaucoup déconnecté de soi même, on vit très trop vite on est submergé ,il faut réagir à tout bout de champ donner n’importe quel avis tout de suite, de condamner, mais écouter, mieux comprendre, se libérer de distractions, de bavardages-répandages stériles, mûrir avant de répondre, enlever ce qui nuit à l’attention, on a une force intérieure irrépressible ! alors relever la tête, de belles choses adviennent de par la force du désir, et de l’amour qu’il génère, plénitude, porteur de vie : rester éveillé ; quitter l’obsession de l’expression par l’avoir, et aller se faire masser chez la masso !Muriel parle de l’univers carcéral, des gens qui venaient les bouches cousues !est ce possible ! la puissance des mots !

Douleur trop forte, impuissance.

 

ur, quel écart entre nous ! amapola : l’histoire du pingouin, qui respirait par le cul, OK ? et les filles s’amusent à péter , voyez le niveau, non mais, quel coup de foudre qu’on avait eu ! basta c’est pas ça, faut se soigner, avec du pousse d’épine de rires, d’insolence, envers soi même, je me fais allumer, me rappelle papa :toujours des reproches ! qu’on est sérieux, rigides, pas être très touché ? les filles, toutes, annick agnès catherine, nadia, régine, martine, comme ça ? elles sont prêtes à en cuire pour garder leur idéal de vie, de famille, voilà, et nous ? pas sûr, oui les couples, les engueulades froides, risquent de dévaster, elles sont plus centrées sur elle-même que nous, autour de ce qu’elles aiment , la famille, la vie l’amitié les valeurs la façon de vivre, la nourriture…le jardin, les anecdotes,les expériences, les enfants, tous les enfants, ceux qu’elles voient vivre, qu’elles sentent bien, quelle mémoire ! dates prénoms événements… pas guère nous, elles se disent les sentiments, les partagent, positivent , ah le mystère de la profondeur de ces dames ! admirable, qu’en pensez vous les garçons, ne nous suicidons pas en profiter, les protéger car elles sont certainement quelque part fragiles, pourquoi s’énerver contre ça ? on est mal à l’aise avec elles ?elles n’ont pas envie de nous ? se sentent indépendantes, autonomes ? donnent à fond, se donnent ; pas fameux quand elles racontent leur expérience des hommes, on se donne à fond dans quoi ? pas se culpabiliser, se stresser, penser à se faire du bien, oui. On est le pont entre cette tension créatrice des opposés ,cherchant à faire un, car on est différents, il y a tellement d’expressions de l’amour différentes, ta façon ,à l’étendre ! très froid en dehors, dans la salle des fêtes c’est la-, on danse sans arrêt, enlevant les étoffes, on est 68 , avec les musiciens, on se tient les mains, on est chauffés au rouge, et on se partage des chocolats, pas belle la vie ? je regarde par la fenêtre du séjour mélancolie des arbres,des branches 8h dans la cuisine basile melaine et joelle causent, j’irais bien dehors marcher, me demande comment faire, être, mais ils sont là quelle chance ! souvent je regarde à cette fenêtre, je suis seul , pense à eux, ils sont absents d’ici, enfin on est 2, quand même ! si seulement ils étaient là ! je les imagine là bas alors, dans leurs activités leurs soucis, avec leurs enfants, leurs plaisirs ; quand les reverrons nous ! mais on est tous pareils ! ah que vais-je faire ce matin, rester un peu ! sortir pas longtemps, les aspirer, les écouter toujours mieux, notre vie à nous ! que de choix faits pour en être arrivés là !! magie ! tellement de libres possibilités, de la part de chacun, Fuir la sécheresse dans les sentiments, la tendresse trop parcimonieuse, que les déchets se mettent à étinceler sous la pluie ! il y a toujours quelque chose qui me dévaste ? et aussi qui me traverse, un ouragan qui est clairvoyance et amour, nous ne sommes pas qu’un puits cartésien, il y a des chose agissantes, come les silences, à respecter, comme toutes les mises en mouvements du corps et de l’esprit, ou du spirituel , ce qui sauve ! du plus grand que nous, à l’heure de l’ultime naissance ? les femmes se dévoilent sortent des secrets, trouvent une place sans déranger, veulent que soit créé du beau ; tissent du joyeux ensemble, de toutes les matières possibles, pour la dignité du sujet bien dans l’existence ! come des lionnes elles se battent, nous font un cadeau du réel ,des réels, je suis un volcan ! un courant d’air ! le cri le corps pleure, l’odyssée de la vie ! si non dort c’est qu’on ne vit pas assez ! se réinventer, se rendre dispo à la matière autour de soi

Créer, vivre, dans le quotidien banal, au fil du temps, habillé de vrai,de beau,

Ben déjà fini mince alors on s’accordait bien à tout installer, ces décos de noel, 2 matins, devant l’école, devant la mairie, je fais des trous à la barre à mine pour que les filles plantent les branches vertes, petits bosquets touffus autour des hiboux en sections de troncs de pins rouge, les cervidés ont des ancrages en fer à béton, c’est vivant ,toute l’équipe a bien bossé, le grand ours blanc en train de dribbler, un ballon de foot sur la tête ,au pied des tissus blancs pour la neige, elles ont pas mal de talent artistique, ont fait beaucoup de petits personnages avec des tissus de couleur des bouts de bouleau, et une barbe en mousse blanche ,pour assembler tout ça , on a bien apprécié, Discussion sympa chez nadia, on parle spiritualité et tout ça, numérologie qui l’intéresse, je récupère pour un temps son vélo jaune pour le rénover un peu à l’atelier, où elle avait souhaité participer comme réparateur bénévole pour apprendre et aider les gens, fêtes toujours de votre mieux ! l’importance du discernement il faut un minimum d’intériorité ,or on est beaucoup déconnecté de soi même, on vit très trop vite on est submergé ,il faut réagir à tout bout de champ donner n’importe quel avis tout de suite, de condamner, mais écouter, mieux comprendre, se libérer de distractions, de bavardages-répandages stériles, mûrir avant de répondre, enlever ce qui nuit à l’attention, on a une force intérieure irrépressible ! alors relever la tête, de belles choses adviennent de par la force du désir, et de l’amour qu’il génère, plénitude, porteur de vie : rester éveillé ; quitter l’obsession de l’expression par l’avoir, et aller se faire masser chez la masso !Muriel parle de l’univers carcéral, des gens qui venaient les bouches cousues !est ce possible ! la puissance des mots !

Douleur trop forte, impuissance.

 

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